Foire aux questions

Vous avez des questions relatives à la conduite de votre médecin vétérinaire, à une demande d'enquête ou à la pratique illégale de la médecine vétérinaire? Consultez notre foire aux questions.

Trouver un médecin vétérinaire

  • Consultez notre répertoire des membres en cliquant ici.

    Prenez note que plus vous précisez les critères de recherche, plus les résultats seront pertinents. Toutefois, il n’est pas nécessaire de remplir tous les champs pour obtenir des résultats. 

  • Pour exercer la médecine vétérinaire au Québec, il est nécessaire de détenir un doctorat en médecine vétérinaire et d’être inscrit au tableau de l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec, qui est responsable de la délivrance des permis de pratique.


    Pour vérifier le droit de pratique d’un médecin vétérinaire, consulter notre outil Trouver un médecin vétérinaire en cliquant ici.Si le médecin vétérinaire recherché ne figure pas au répertoire, contactez-nous par courriel à info@omvq.qc.ca.

Conseil vétérinaire

  • Non.

    L'Ordre des médecins vétérinaires du Québec n'offre pas des services vétérinaires. Notre rôle est de surveiller l'exercice de la profession afin de protéger le public.

    Si votre animal semble malade, nous vous suggèrons de consulter un médecin vétérinaire.

    Au besoin, consultez notre répertoire des membres en cliquant ici.

  • Non.

    L’Ordre des médecins vétérinaires du Québec n’a pas pour mandat de valider ou d’infirmer les diagnostics ou traitements posés par un médecin vétérinaire.

    Si vous avez des doutes ou des questions concernant le diagnostic ou le traitement proposé pour votre animal, il est recommandé d’en parler d’abord avec votre vétérinaire. Une discussion ouverte peut souvent aider à mieux comprendre les décisions médicales prises et les raisons qui les motivent. Si, malgré cette discussion, vous ressentez le besoin d’un deuxième avis, vous pouvez consulter un autre médecin vétérinaire.

Maltraitance animale

  • Si vous êtes témoin d’une situation inacceptable ou de soins inadéquats envers un animal — qu’il s’agisse d’un animal de compagnie, d’élevage, sauvage gardé en captivité ou exotique — vous pouvez en faire le signalement en remplissant le formulaire de plainte disponible en cliquant ici.

    Votre signalement sera pris en charge par :

    • Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), pour les animaux de compagnie et d’élevage;
    • Le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP), pour les animaux sauvages gardés en captivité, qu’ils soient indigènes ou exotiques.

    Vous pouvez aussi les contacter par téléphone :

    • Animaux de compagnie ou d’élevage : 1 844 ANIMAUX (264-6289)
    • Animaux sauvages en captivité, incluant les animaux exotiques de compagnie : 1 800 463-2191 (SOS Braconnage – Urgence faune sauvage)

Adoption/abandon d’un animal

  • Lorsque votre situation ne vous permet plus de garder votre animal, il vaut mieux lui trouver une nouvelle famille par vous-même ou demander l’aide d’un refuge qui pourra l’accueillir. Ne laissez jamais un animal seul dans votre ancien logement ou dans la nature. 

  • Il est conseillé de s’informer auprès des éleveurs certifiés, des refuges et des médecins vétérinaires afin de faire le meilleur choix possible en fonction de votre style de vie. Méfiez-vous des petites annonces. Lorsque vous choisirez votre nouvel animal, soyez vigilant. S’il s’agit d’un jeune animal, demandez de rencontrer les parents de l’animal et de connaître les conditions dans lesquelles il a vécu. Les animaux nés dans de bonnes conditions ont de meilleures chances de devenir équilibrés.

    Si vous croyez être prêt à accueillir un nouveau membre dans votre famille, l’adoption dans un refuge est certainement une bonne action, vous donnerez alors une deuxième chance à un animal!                      

    Dans tous les cas, informez-vous adéquatement pour vous assurer que vos habitudes de vie et votre contexte sont cohérents avec les besoins de l’animal choisi. À cet effet, consultez votre médecin vétérinaire et visitez la section «Conseils pour vos animaux» qui offre plusieurs informations utiles à considérer avant d’adopter.

Chiens dangereux - Évaluation du comportement

  • Nous vous suggérons de communiquer avec votre médecin vétérinaire pour qu’il puisse procéder à l’évaluation ou encore, vous recommander à une autre personne qualifiée. 

    Vous pouvez également trouver un médecin vétérinaire dans votre région, en consultant la section «Trouver un médecin vétérinaire» sur le site Internet de l’Ordre puis en cherchant «Évaluation de dangerosité canine» dans le secteur d’activité. 

  • Les médecins vétérinaires sont les seuls professionnels aptes à diagnostiquer des problèmes de santé physique ou mentale qui peuvent être à la source des problèmes comportementaux d’un animal. Un comportement agressif n’est pas le simple résultat de la génétique ou de l’éducation qu’un animal reçoit au cours de son développement. Les risques qu’un chien cause des blessures à un être humain ou à un autre chien peuvent être évalués en fonction de plusieurs critères, dont le facteur humain (comportements des individus et composition familiale), le comportement de l’autre chien, la présence de maladies organiques ou mentales chez l’animal, la sévérité de l’agression (menace comparativement à morsure), le type d’agression (défensive, offensive, de prédation), la prévisibilité des comportements agressifs, la fréquence des épisodes, l’environnement physique et social, etc. Les médecins vétérinaires peuvent évaluer l’ensemble des facteurs de risque, ce qui n’est pas le cas des comportementalistes. 

    De plus, les médecins vétérinaires ont des obligations déontologiques à la fois envers les humains et envers les animaux. Après avoir réalisé une évaluation de dangerosité en réponse à une demande d’expertise de la part d’autorités gouvernementales redevables envers les citoyens, les médecins vétérinaires doivent donc émettre leurs recommandations en priorisant la sécurité du public tout en considérant le bien-être de l’animal. Les multiples devoirs et responsabilités déontologiques des médecins vétérinaires les obligent à aborder chaque cas avec neutralité.

  • La diminution des attaques canines repose sur une solution qui permettra d’agir sur tous les aspects de la problématique. Elle prévoira la mise en place de mesures d’encadrement des chiens et plus spécifiquement des chiens dangereux ainsi que des actions visant à éduquer les propriétaires canins, la population en général et mieux encadrer les élevages. Pour plus d’information, consultez les mémoires rédigés par l’Ordre sur ce sujet.

     

Frais vétérinaires

  • Selon l’article 28 du Code de déontologie des médecins vétérinaires, le médecin vétérinaire doit exiger des honoraires justes et raisonnables, justifiés par les circonstances et proportionnels aux services rendus. Un établissement vétérinaire peut donc prévoir des frais supplémentaires pour un examen en urgence. Cependant, le médecin vétérinaire doit aviser son client des frais prévisibles et obtenir son consentement avant de procéder. 

  • Les médecins vétérinaires n’offrent pas leurs services professionnels gratuitement. Certains établissements vétérinaires ont une fondation, notamment pour les propriétaires d’animaux à faible revenu. Nous vous suggérons de valider avec votre médecin vétérinaire les options – et les ententes de paiement - qui sont possibles pour la santé de votre animal. 

  • Les honoraires ne sont pas fixes et peuvent varier d’un établissement à un autre. Le médecin vétérinaire est libre de les établir, mais doit respecter certains critères cités dans son Code de déontologie, notamment le temps et l’effort consacrés à l’exécution des services professionnels ainsi que l’expérience ou l’expertise du médecin vétérinaire.

  • L’Ordre des médecins vétérinaires du Québec n’encadre pas les frais vétérinaires. 

  • Selon son Code de déontologie, le médecin vétérinaire doit demander et accepter des honoraires justes et raisonnables, justifiés par les circonstances et proportionnels aux services rendus. Il doit notamment tenir compte des facteurs suivants pour la fixation de ses honoraires :

    1° le temps consacré à l’exécution des services professionnels;

    2° la difficulté et l’importance des services professionnels à rendre;

    3° la prestation de services inhabituels ou exigeant une compétence ou une célérité exceptionnelle;

    4° son expérience ou son expertise;

    5° l’importance de la responsabilité assumée.

     Si vous êtes en mesure de démontrer que votre médecin vétérinaire vous a demandé des honoraires excessifs, vous pouvez faire une demande d’enquête auprès de l’Ordre. 

    Si vous avez un différend avec votre médecin vétérinaire sur le montant d’un compte pour services professionnel, par exemple s’il vous a facturé pour des services non autorisés ou des services non rendus, vous pouvez faire une demande de conciliation de compte auprès du syndic dans les 45 jours qui suivent la réception de la facture, et ce, même si vous l’avez déjà acquittée. La demande de conciliation ne s’applique pas aux situations où vous seriez insatisfait de la qualité des services rendus.

  • Les médecins vétérinaires n’ont pas l’obligation de dévoiler toute leur grille tarifaire, mais doivent vous informer du coût des traitements qu’ils entreprendront et des médicaments qu’ils administreront. Ils doivent aussi vous fournir toutes les explications quant à la condition de santé de votre animal et aux traitements auxquels ils le soumettront. Ils doivent, avant toute intervention, obtenir votre consentement libre et éclairé.

  • Le médecin vétérinaire peut demander le paiement des frais et déboursés prévisibles ainsi que 50 % des honoraires estimés.

  • Le médecin vétérinaire ne peut pas, selon son Code de déontologie, vendre, donner, administrer ou distribuer un médicament périmé ou un médicament inutilisé qui lui a été retourné par son client. Ainsi donc, nous vous invitons à communiquer avec votre médecin vétérinaire pour discuter de votre situation. 

Médicaments, vaccin et prescription

  • Le médecin vétérinaire doit respecter le droit du client, s’il en fait la demande, de faire exécuter ses ordonnances de médicaments ou de traitements auprès du professionnel de son choix. Le médecin vétérinaire doit, le cas échéant, lui remettre une ordonnance en ce sens, sans honoraires additionnels par rapport à ceux qu’il facturerait s’il le médicament était acheté à sa clinique. Voici un exemple : votre établissement vétérinaire exige habituellement des frais de 15 $ pour une prescription plus le coût du médicament lorsque vous achetez le médicament dans son établissement. Donc, les frais pour une prescription externe doivent être les mêmes soit 15 $. 

  • Les vaccins vétérinaires sont des médicaments vétérinaires sous ordonnance et font partie, comme les médicaments vétérinaires sous ordonnance, de l’annexe IV du Règlement sur les conditions et modalités de vente des médicaments. Un médicament ou un vaccin inscrit à cette annexe ne peut être vendu au public que par un pharmacien ou un médecin vétérinaire. De plus, selon le Code de déontologie, le médecin vétérinaire doit, avant de prescrire un médicament ou un vaccin, avoir personnellement effectué un examen approprié de l’animal. 

  • Oui. Selon le Règlement sur les ordonnances des médecins vétérinaires, le nombre de renouvellements ne doit pas excéder une période d’un an. De plus, le médecin vétérinaire doit exercer son jugement professionnel et déterminer si, pour le bien de l’animal, une réévaluation de son état est nécessaire puisque la condition de l’animal aurait pu changer entretemps. Certaines conditions médicales nécessitent des réévaluations plus fréquentes pour assurer un suivi adéquat de votre animal. Aussi, le médecin vétérinaire peut exiger des tests supplémentaires tel un bilan sanguin avant de renouveler la médication.

Signalements en déontologie vétérinaire

  • Lorsqu’une situation est signalée à l’Ordre au sujet d’un médecin vétérinaire, l’information est traitée de façon confidentielle.

    Cependant, si une enquête a mené à une plainte disciplinaire et qu’une décision a été rendue, cette information devient publique. Vous pouvez alors consulter :

    • Les décisions disciplinaires rendues depuis juin 2001 sont accessibles dans leur intégralité sur le site de CANLII ou sur le site de SOQUIJ.
    • Le rôle d’audience disciplinaire, qui est la liste des audiences à venir, est disponible sur notre site Web en cliquant ici.

    Pour consulter le processus de cheminement d’une enquête, cliquez ici

  • Si vous avez des motifs de croire qu’un médecin vétérinaire ou un membre de son équipe n’a pas respecté ses devoirs et obligations professionnelles, ou qu’il a contrevenu à son Code de déontologie, nous vous invitons à communiquer avec l’équipe du Bureau du syndic. 

    Téléphone : 1 800 267-1427, poste 212
    Courriel : bureau.syndic@omvq.qc.ca

    Pour consulter le processus de cheminement d’une enquête, cliquez ici

  • Le traitement d’une demande d’enquête suit plusieurs étapes, selon la nature du dossier. Le Bureau du syndic commence par analyser si la demande est recevable, puis procède à une enquête, si cela s’avère nécessaire.


    Si vous souhaitez connaître l’état d’avancement de votre demande, nous vous invitons à contacter l’équipe du Bureau du syndic par téléphone au 1 800 267-1427, poste 212 ou par courriel au bureau.syndic@omvq.qc.ca.

    Pour consulter le processus de cheminement d’une enquêtec. cliquez ici

  • Pour réclamer une compensation financière, vous devez d’abord adresser une réclamation directement au médecin vétérinaire cocnerné, à l’établissement où il exerce. L’Ordre des médecins vétérinaires du Québec ne peut intervenir dans cette démarche. Une fois la réclamation reçue, le médecin vétérinaire en informera son assureur en responsabilité professionnelle, qui mènera une enquête indépendante et communiquera avec vous afin de vous faire part de sa décision. Nous vous recommandons également de consulter un conseiller juridique et de visiter le site Web de Justice Québec pour obtenir davantage d’informations. À noter que cette démarche est distincte de toute plainte déposée auprès du Bureau du syndic. 

    Pour plus d'information à ce sujet, consulter la section Protection du public/Compensation financière de notre site Web en cliquant ici

Thérapies complémentaires

  • L’Ordre des médecins vétérinaires du Québec encadre plus spécifiquement les thérapies complémentaires suivantes : 

    •          acuponcture vétérinaire; 

    •          thérapie par manipulation vertébrale et articulaire sur les animaux; 

    •          physiothérapie vétérinaire; 

    •          ostéopathie vétérinaire.

    Le médecin vétérinaire appliquant des thérapies complémentaires doit utiliser son jugement dans le choix des thérapies et s’abstenir d’avoir recours à celles pour lesquelles il n’existe aucune donnée scientifique objective susceptible de démontrer un degré d’efficacité acceptable pour le traitement de la condition de santé.

    Il n’est pas dérogatoire de pratiquer sur des animaux une autre thérapie complémentaire que celles qui sont mentionnées plus haut; chaque cas doit être évalué globalement dans son contexte.

  • Seuls les médecins vétérinaires, membres de l’Ordre, ont le droit d’utiliser des thérapies complémentaires pour soigner un animal au Québec. 

    Tous les médecins vétérinaires peuvent inclure les thérapies complémentaires dans leur pratique s’ils sont en mesure de démontrer qu’ils détiennent les compétences requises propres à la discipline concernée. Le permis d’exercice de la médecine vétérinaire permet de pratiquer tous les actes vétérinaires.

  • Il relève de la responsabilité professionnelle du médecin vétérinaire qui choisit d’utiliser une thérapie complémentaire de :

    • démontrer qu’il a exercé son jugement professionnel et utilisé un procédé de traitement dont l’efficacité a été suffisamment éprouvée pour traiter une condition donnée;

    • d’informer le client adéquatement des avantages, des inconvénients et des limitations de la thérapie complémentaire par rapport à un traitement existant en médecine conventionnelle pour une condition donnée, afin que le client puisse prendre une décision et donner un consentement éclairé.

  • Le mode d’action et l’efficacité des préparations homéopathiques n’ont pas été démontrés au moyen de méthodes scientifiques généralement acceptées et il n’existe pas de médicaments homéopathiques approuvés pour usage vétérinaire au Canada. 

  • Non. Même si le cannabis récréatif est maintenant en vente libre pour les humains, la prescription par un médecin vétérinaire demeure obligatoire pour l’utilisation de cannabis médical chez les animaux. Toutefois, le manque de données probantes sur l’efficacité et sur les doses à recommander ainsi que l’absence de voie légale pour s’en procurer pour les animaux rendent la prescription impossible pour l’instant.

    L’intoxication au cannabis peut engendrer de nombreux symptômes : la perte d’équilibre, la dilatation des pupilles, les vomissements, la léthargie, l’incontinence, l’hypothermie, la perte de conscience et dans certain cas très rare, la mort. Dans le cas où votre animal aurait ingéré du cannabis, il est recommandé de contacter immédiatement votre médecin vétérinaire.

Médecines spécialisées

  • Oui, il existe 18 spécialités vétérinaires reconnues au Québec. Pour connaitre lesquelles, visitez la page Spécialités du site Web. Même si certaines spécialités ne sont pas encore reconnues officiellement par l’Ordre, des médecins vétérinaires offrent des soins avancés. Votre vétérinaire traitant pourra vous guider vers les bonnes personnes si votre animal a besoin de soins qui dépassent ses compétences de généraliste.

  • Après avoir obtenu leur doctorat en médecine vétérinaire (DMV), les médecins vétérinaires qui souhaitent poursuivre leur formation dans l’une ou l’autre des différentes spécialités de la médecine vétérinaire doivent par la suite être admis dans l’une des cinq universités canadiennes ou des 25 universités américaines offrant ces programmes de formation. Peu de candidats sont sélectionnés puisque ces programmes sont très contingentés et que des candidats du monde entier tentent d’y être admis.

    Une fois sélectionnés sur la base de critères élevés, les médecins vétérinaires complètent une formation de quatre à cinq années supplémentaires d’études spécialisées afin d’acquérir une expertise dans une discipline particulière. Pour obtenir leur certificat américain de spécialiste, ils doivent par la suite prouver leur compétence en réussissant un examen qui démontre leur excellence. Ce diplôme leur permettra également d’obtenir un certificat de spécialiste délivré par l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec.

  • Sur le site Internet de l’Ordre, utilisez le moteur de recherche Trouver un médecin vétérinaire. Vous pouvez faire une recherche avancée, en ajoutant le domaine de pratique, la spécialisation ou la ville.

  • Certaines disciplines spécialisées de la médecine vétérinaire (cardiologie, dentisterie, etc.) n’ont pas été incluses lors de la révision, en 2013, du Règlement sur les conditions et modalités de délivrance des permis et des certificats de spécialistes de l’Ordre professionnel des médecins vétérinaires du Québec. Toutefois, des programmes universitaires dans ces domaines sont disponibles et certains vétérinaires les complètent. Ils détiennent donc un diplôme (board) dans une spécialité non reconnue par le règlement. Comme il s’agit de spécialités pour lesquelles l’Ordre ne peut délivrer de certificat de spécialiste, ces médecins vétérinaires ne peuvent porter le titre de spécialiste. Ils ont néanmoins fait les études en lien avec cette discipline.

Dossier médical

  • Oui. Selon le Code de déontologie des médecins vétérinaires, le médecin vétérinaire doit respecter le droit de son client de prendre connaissance de son dossier médical et d’obtenir dès que possible une copie des documents qui en font partie. Le médecin vétérinaire doit donner suite avec diligence, ou au plus tard le 20e jour qui suit la réception de la demande. Le médecin vétérinaire peut exiger des frais qui ne peuvent excéder les coûts raisonnables de reproduction ou de transcription des documents ou les coûts raisonnables de transmission d’une copie de ceux-ci.